ATELIER LIOR : LA SCIENCE, L’ÉCLAT CUTANÉ
Derrière chaque marque se cache une personne, une histoire. Découvrons ensemble celle de Fanny-Laure, la jeune camerounaise à la tête de l’Atelier Lior.
Fanny-Laure, merci de te présenter pour le magazine. Qui es-tu et quel est ton parcours ?
Je suis Fanny-Laure, fondatrice de l’Atelier Lior, un cabinet où l’on fait des consultations et des cosmétiques pour vous permettre d’avoir la peau la plus lumineuse possible. L’ordre dans lequel je présente les choses est très important. Les consultations dabord, les cosmétiques ensuite, car mon cœur de métier c’est bien de faire des consultations. Biologiste cutanée de formation, je m’intéresse à la physiologie de la peau. Chercheuse, j’aime comprendre comment celle-ci fonctionne et il est important de connaître sa peau avant d’appliquer des produits. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai créé L’ Atelier Lior. J’ai une formation scientifique, faculté de médecine, faculté de biologie, laboratoire et après l’Atelier Lior.
Pour financer ton projet, tu as mis en place une campagne participative… Comment a été accueilli ton projet ?
Nous avons mis en place une campagne de crowfunding en mai 2021. Le but de la campagne n’était pas de financer la création du projet mais plutôt son évolution. En 2020 nous avons eu une assez forte croissance (à notre échelle). Il devenait donc indispensable de passer en phase d’industrialisation. Nous avions certes un fond de roulement mais ne voulions pas risquer de le mettre en péril d’autant plus qu’en passant en phase d’industrialisation, nous allions avoir besoin de fonds supplémentaires. C’est la raison pour laquelle nous avons mis en place la campagne. Celle-ci a été un réel outil de communication et nous a permis de gagner en visibilité.
Le projet a été plus que bien accueilli. Une fois de plus ce sont les Liors ladies qui m’ont incitée à mettre en place et à porter la campagne, en véritables ambassadrices. Il y a eu une réelle mobilisation, mon objectif était d’atteindre les 7000 euros mais en 24 heures à peine, nous avions passé le cap des 12 000 euros.